Pourquoi choisir à Bemart ?

Pourquoi faire appel à un vrai parqueteur ? Parce que ette page aurait pu s'appeler le ‘Musée des horreurs !

En fait, comme dans tous les métiers, il y a les bonnes procédures, les bonnes méthodes, les produits adaptés et compatibles, le savoir-faire.

Au hasard des appels au secours de clients ayant vécu de mauvaises expériences, nous passons sur des chantiers de parquetage pour tenter de trouver une solution. Souvent, nous devons reprendre le travail à la base…

Voici quelques exemples de désordres :

L'humidité

On n'a pas le droit d'être pressé lors de la pose d'un parquet.
Si la chape est encore humide, il faut patienter, sinon ce sont les désordres assurés et on ne peut plus fermer la porte !
L'essentiel des sinistres en parquetage provient de l'humidité ; le parqueteur doit s'assurer que le support est apte à recevoir un parquet ; les chapes neuves particulièrement doivent faire l'objet d'une mesure en profondeur à la bombe à carbureVoir cette page consacrée à la mesure de l'humidité.

Photo parquet soufflé

La pose flottante sur chauffage au sol

La norme NF P 63-204-1 dans sont paragraphe 8.5 impose la pose collée sur chauffage au sol, il y a une raison.

La pose flottante sur sol chauffant conduit parfois à ce résultat :

  • Flottant sur sol chauffant
  • Flottant sur sol chauffant

Le parquet massif posé en flottant

La méconnaissance des principes de pose conduit fatalement à des déceptions : il y a fort peu de parquets massifs posables en flottant…

Massif non collé

Le parquet posé sur sol mal préparé

Le parquet flottant exige un support parfaitement plan, il est exceptionnel de pouvoir se passer de ragréage.

Le poser comme ici sur un support incertain conduit à de la souplesse, des grincements, des meubles qui bougent…

Le mauvais outillage

Là, le parquet n'est pas en cause, la colle n'est pas en cause mais une spatule inadaptée a été utilisée.
Il n'y a eu aucune adhérence entre le parquet et la colle, la lame déposée est à 80 % nue alors qu'elle devrait être à 100 % encollée :

Photo parquet mal collé

Le produit inadapté

Le ragréage permet d'obtenir une surface lisse et plane à même de recevoir un parquet.
Là, le ragréage a été fait et refait à trois reprises sans grand succès :

Photo ragréage mal exécuté

La technique de mise en œuvre

Même dans une maison neuve, obtenir une surface lisse et plane après ragréage exige le bon produit et le bon procédé…

Photo sol non plan

Les détails oubliés

La première image offerte par le parquet à l'ouverture de la porte n'est pas… séduisante.
Ce sont pourtant les finitions qui feront la différence :

Photo seuil mal réalisé

Les plinthes non traînées

Les plinthes doivent être ‘traînées’, c'est-à-dire qu'elles doivent épouser le sol. Là, on n'a même pas essayé !

Photo plinthe pal posée

Le manque de réflexion

On pose rapidement, on s'appuie sur un mur de l'entrée et tout l'appartement est posé légèrement en biais, les lames font des ‘queues de billard’ le long de la cheminée, le long des murs, partout !…

  • Photo parquet posé en biais
  • Photo parquet en biais sur la cheminée

La méconnaissance des bases

En parquetage, des joints proches les uns des autres en bout de lames sont inacceptables. Il faut deux à trois largeurs de lame entre deux joints.

Photo parquet mal 'croisé'

La restauration-catastrophe

Réparer du point de Hongrie demande un savoir-faire qui, clairement, a fait défaut ici  :

  • Photo point de Hongrie mal réparé
  • Photo parquet point de Hongrie mal réparé

Finition toujours...

Le ponçage aussi demande du savoir-faire  :

Photo parquet mal poncé

Et ce qui ne se voit pas...

Il y a bien sûr les sinistres potentiels, ceux qui surviendront sur le parquet inadapté au type de chauffage, les colles qui ne dureront pas, les parquets fragilisés par des ponçages excessifs, les joints de dilatations non respectés, les normes d'isolation oubliées, etc. etc.